Je suis Jean-Michel Cousseillant. Sur le plan de l’écrit, j’ai publié des articles de vulgarisation dans des journaux. Ces articles se rapportent le plus souvent sur certaines causes du sous-développement de pays du sud tels qu’Haïti. J’ai aussi écrit un petit livre de 43 pages en février 2019 titré : « Guide général pour la recherche d’emploi; À l’intention des jeunes qui sont sur le marché du travail ». Par ailleurs, je suis un étudiant au programme de doctorat en didactique des mathématiques à l’université Laval. C’est à la suite de mon parcours combiné d’ingénieur civil, d’administrateur des affaires et d’enseignant que je me suis penché sur la nécessité de produire un peu plus en faveur des jeunes. Parmi les motivations qui m’amènent à la recherche, il y a celles qui sont basées sur l’inventivité et l’esprit d’observation. En effet, il y a un désir certain chez moi de vouloir contribuer à la découverte scientifique de modèle d’enseignement / d’apprentissage de mathématiques capable d’aider les jeunes à aborder la matière avec plus d’engagement vers le succès. Ensuite, je dois dire que cela part de mes observations sur les relations « école-famille », c’est-à-dire du dialogue périodique entre l’enseignante des mathématiques de mon fils en 11ième année et moi-même. Il y a un sentiment de distanciation entre l’enseignante et mon fils contrairement aux enseignants(es) de mathématiques des années antérieures. De plus, au cours de mes dialogues avec cette enseignante de 11ième année (« ce leader »), l’effort de collaboration n’y est pas, comme si le sort en est jeté, c’est-à-dire l’élève est arrivé à ses limites. Dès lors, je sens qu’il y a un non-dialogue dans le dialogue contrairement à ce que prône la théorie de l’action dialogique de Paulo Freire (1970) dans son livre « Pedagogy of the oppressed ».
Difficultés d'apprentissage en mathématiques et inégalités sociales